
C’est la polémique qui entache l’élection de Miss France 2026 ! Éliminées aux portes du Top 12, Miss Provence et Miss Aquitaine ont craqué en insultant leurs camarades dans une vidéo privée, depuis rendue publique. Si la première tente une justification hasardeuse, la seconde n’a pas hésité à sacrifier sa copine pour sauver sa réputation. Sororité garantie (ou pas).
e vernis a craqué, et pas qu’un peu ! Alors que la soirée de l’élection de Miss France 2026 devait être une célébration de l’élégance et de la “sororité” tant vantée par l’aventure, les coulisses ont révélé un visage beaucoup moins reluisant. La déception est humaine, certes, mais la réaction de Julie Zitouni (Miss Provence 2025) et Ainhoa Lahitete (Miss Aquitaine 2025) a dépassé les bornes de la simple frustration. Toutes deux ont eu la désagréable surprise de ne pas entendre leur titre scandé lors de l’appel des 12 Miss présélectionnées par le jury de pré-sélection et elles ont à peine caché leur amertume.
Pensant être à l’abri des regards indiscrets, elles se sont lâchées dans des vidéos publiées sur une story Snapchat privée. Mais, comme il fallait s’en douter, le contenu a fuité ! Et le moins que l’on puisse dire c’est que la séquence, rendue publique par Aqababe sur X, a de quoi choquer. “Qu’est-ce que c’est que ce top 12 ? Désolé, je ne veux pas faire ma rageuse mais c’est quoi ce top 12 ?”, déplore d’abord Ainhoa Lahitete face caméra avant que Julie Zitouni ne la rejoigne sur l’écran pour ajouter : “C’est que des grosses p*tes.” Une insulte gratuite, ré-affirmée ensuite par Ainhoa Lahitete : “Ouais, pas toutes mais beaucoup”. Ambiance dans les coulisses de l’élection de Hinaupoko Devèze au titre de Miss France 2026.
Comment Julie Zitouni (Miss Provence 2025) a-t-elle tenté de justifier ses propos en marge du concours Miss France 2026 ?
Face à l’indignation des internautes et fans du concours, Miss Provence 2025 n’a pas tardé à sortir du silence pour se justifier dans une story sur Instagram. Ce dimanche 7 décembre, Julie Zitouni a tenu à s’expliquer, plaidant la maladresse : “Les mots que j’ai prononcés sont maladroits et ne reflètent absolument pas ce que je pense des candidates.” Dans la suite de son message, la comparse de Miss Aquitaine confie que l’insulte avait d’avantage été utilisée “dans un sens familier qui, dans ma manière de parler, signifiait simplement ‘les veinardes’, ‘les chanceuses’“. Une justification qui n’a guère convaincu.
Toutefois consciente de son erreur, Julie Zitouni ajoute par la suite : “Ce n’est pas un vocabulaire qui a sa place dans Miss France. Je comprends que cela puisse choquer et je m’en excuse sincèrement. […] Ce qui rend cette situation encore plus regrettable, c’est que la grande majorité du Top 12 est composée de candidates que j’affectionne profondément, des filles avec qui j’ai créé de vraies affinités et qui sont devenues des amies durant cette aventure.” Et de conclure : “Je prends la responsabilité de cette maladresse.” Une démarche honnête que n’a pas décidé de suivre sa comparse Ainhoa Lahitete (Miss Aquitaine 2025)…
Ainhoa Lahitete (Miss Aquitaine 2025) lâche Julie Zitouni en pleine tempête et se désolidarise lâchement de ses propos
L’amitié, c’est sacré (ou pas) ! Après les excuses de Julie Zitouni, c’était au tour de Ainhoa Lahitete de prendre la parole pour faire son mea culpa. Sa technique peu glorieuse ? Se dissocier totalement du comportement de sa camarade, quitte à la jeter en pâture au public ! “À la suite de l’annonce du Top 12 de Miss France 2026 et dans une vidéo destinée à un cercle privé mais qui a été relayée publiquement, j’ai approuvé des propos inacceptables tenus par une autre miss régionale du concours, à l’encontre de l’ensemble des Miss régionales de la promotion de Miss France 2026”, a-t-elle rédigé dans une publication postée sur son compte Instagram, dont elle a prudemment bloqué les commentaires.
Celle qui était habillée en huître pour le défilé en costume régional de l’élection Miss France, ce samedi 6 décembre, poursuit son plaidoyer en invoquant les grands principes du concours, ceux-là mêmes qu’elle semblait avoir oubliés quelques heures plus tôt : “Ces mots et cette réaction ne reflètent absolument pas les valeurs humaines que l’on m’a transmises, ni celles que je souhaite défendre. Pendant toute la préparation à Miss France, mon comité départemental, mon comité régional et la société Miss France m’ont appris le respect, la bienveillance, la sororité et la dignité. Je suis pleinement consciente que, sur le moment, je n’ai pas été à la hauteur de ces valeurs.” La “sororité” jusqu’au bout…
