
Invité sur le plateau de C à vous, ce 1er décembre 2025, Jean-Pierre Foucault s’en est pris aux détracteurs d’Angélique Angarni-Filopon.
À quelques jours de l’élection de Miss France 2026, l’animateur Jean-Pierre Foucault est partout. Fidèle au poste, il s’apprête une nouvelle fois à monter sur scène au Zénith d’Amiens ce samedi 6 décembre 2025, pour présenter la cérémonie qu’il porte depuis près de trente ans.
Mais ce lundi 1er décembre, sur le plateau de C à vous, l’animateur n’a pas seulement parlé paillettes et couronnes. Il a surtout poussé un coup de gueule rare, presque rageur, en évoquant le calvaire vécu par Angélique Angarni-Filopon, Miss France 2025. Invité par Anne-Elisabeth Lemoine et interrogé par Pierre Lescure, Jean-Pierre Foucault a replongé dans l’année mouvementée de la reine de beauté.
Jean-Pierre Foucault défend Angélique Angarni-Filopon
Angélique Angarni-Filopon a en effet été la cible de messages haineux, de menaces de mort et de commentaires racistes dès les premières semaines de son règne. Une violence numérique qui a profondément choqué l’animateur, qui a poussé un coup de gueule au sujet de l’IA. Face caméra, il a reconnu avec amertume que ce genre de déferlement n’est pas nouveau. “Les critiques sur Miss France, on connaît. C’est même devenu monnaie courante”, a-t-il expliqué, visiblement lassé.
Pourtant, cette fois, le ton a changé. Lorsqu’il a évoqué les commentaires sur la couleur de peau d’Angélique, son visage s’est fermé et sa colère est montée d’un cran. “On n’a pas à chipoter pour la couleur d’une peau”, a-t-il dénoncé, avant d’ajouter que critiquer la coupe de cheveux ou la silhouette d’une jeune femme qui représente la France est “profondément scandaleux”.
L’animateur pousse un lourd coup de gueule
Les mots ont fusé sans filtre, plus crus qu’à son habitude. “Il y a vraiment des gens qui n’ont rien à faire ! Rien à fo*tre, je vais dire, tiens !”, a lancé l’animateur, excédé par la malveillance de certains internautes. Alors qu’Anne-Elisabeth Lemoine lui a demandé s’il comptait aborder ce sujet sensible lors de la cérémonie de samedi, Jean-Pierre Foucault a surpris par sa réponse.
Pour lui, il ne sert à rien de donner encore plus de lumière à la haine. “Ce n’est pas utile de raviver les flammes qui s’éteignent”, a-t-il assuré. Il préfère croire que la tempête s’estompe peu à peu, et que la meilleure réponse reste le silence. “Petit à petit, ça disparaît. Et c’est tant mieux de ne pas en tenir compte.” Un choix assumé, en accord avec la philosophie du concours : rester un moment de fête et de légèreté, loin des polémiques toxiques.